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A Christ seul soit la gloire !

La chair et le sang

de l'esprit des vivants

Par Jean Leduc

Septembre 2021


L'IDOLATRIE DE LA PÂQUE CHRÉTIENNE


     Il est évident que l'Esprit des vivants n'a pas de chair et de sang, car il est pur Esprit. Mais dans la grâce du renoncement dans son incarnation, il se forma prodigieusement un corps de chair et de sang dans le sein d'une vierge, et se révéla à nous sous le nom majestueux de JÉSUS. En termes bibliques, cela signifie que le Père Éternel se manifesta dans la chair comme Fils. En d'autres mots, le Fils est l'enveloppe de chair ou nature humaine parfaite et visible, du Père invisible qui est en Lui comme nature divine. Le Seigneur JÉSUS était ainsi pleinement Homme et pleinement Dieu en le corps d'une personne unique, c'est à dire qu'il est véritablement la seule Personne en Dieu (voir: Le mythe du Dieu envoyé de Dieu). Il était l'image du Nouvel Homme, le premier-né d'une nouvelle race céleste et éternelle, en lequel nous serons tous transformés comme des nouvelles créatures. L'anticipation des élus véritables sera ainsi pleinement réalisée, en notre communion parfaite avec Christ, et avec l'un et l'autre.


Dans l'antiquité, au temps des persécutions chrétiennes dans l'empire Romain, des accusations de cannibalisme furent portées contre les chrétiens, devant les empereurs. Des espions ou rapporteurs malicieux et malfaisants, les accusaient de manger la chair et de boire le sang d'un certain Jésus, qui avait été crucifié par le procurateur romain, Ponce Pilate. Quoique nous savons qu'une telle accusation était complètement absurde, le christianisme était considéré à cet époque, comme une sérieuse menace à l'empire et aux dieux du paganisme, et surtout aux administrateurs de leurs temples qui en profitaient, tout comme les pasteurs d'églises modernes.


Or on peut s'imaginer, qu'une personne superficielle pourrait facilement arriver à une telle conclusion erronée, en lisant les paroles du Seigneur Jésus dans Jean 6: 53-56:


53 Jésus leur dit: En vérité, en vérité je vous le dis: Si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'aurez point la vie en vous-mêmes.

54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang, a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.

55 Car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.

56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang, demeure en moi, et moi en lui.


Or il est évident que Jésus parlait ici dans un style figuré ou métaphorique. Ce qui nous est véritablement enseigné par ces paroles, est le principe d'identification et communion des élus, avec le sacrifice de Christ sur la croix, pour le pardon et la purification de nos péchés. Sous la loi de l'Ancienne Alliance, en vigueur en ce même moment de l'histoire de Jésus et des apôtres, l'offrande des sacrifices, sur l'autel dans le temple, identifiait le sacrifice avec le pécheur pour la purification temporaire de ses péchés. Ce qui signifiait, que par son sacrifice sur la croix, que le Seigneur Jésus se déclara être, dans le contexte de la loi, le Messie promit depuis le début des temps (Genèse 3: 15).


Son sacrifice sanglant était l'accomplissement de la loi, en vue de l'Alliance de la grâce, qui se manifesta pleinement lors de son exaltation comme Sainte Présence, lorsqu'il revint le jour de la Pentecôte habiter le cœur de ses élus pour tous les temps. Mais l'autorité de la loi demeura en vigueur, du temps que le temple demeura le centre de la loi, jusqu'à sa destruction par les armées romaines en l'an 70 de notre ère. Tous les écrits du Nouveau Testament furent rédigés en cette période qui fut d'une durée de 40 ans. Ce fut aussi la période du ministère des apôtres, et particulièrement de l'apôtre Paul.


Bref, toutes ces choses se réalisèrent du temps que la loi était encore en vigueur, et détenait l'autorité sur le peuple d'Israël. Mais au niveau spirituel, une brèche se dévoila à l'ascension ou exaltation de Christ, pour établir un royaume purement spirituel, hors la portée de la loi qu'il avait parfaitement accompli en tous les détails, et en notre faveur pour nous en libérer par cette grâce merveilleuse, qu'il nous accorde en sa magnificence. En d'autres mots, l'Alliance de la grâce se révéla au sein de l'Alliance de la loi, pour attirer tous les élus à Christ, et laisser le reste sous la condamnation du péché pour leur perdition éternelle.


Mais ce que plusieurs ignorent, est qu'une pratique similaire d'offrir des sacrifices, pour rendre propice des fausses divinités, se retrouvait aussi, parmi les religions à mystères du temps, chez les grecs et les romains, avec quelques variations abominables. Il importe de remarquer que l'idéologie de l'ancien Israël était basée sur un strict monothéisme, tandis que celle des nations non-juives avait pour base le polythéisme. La notion d'apaiser la colère de Dieu par un sacrifice, était connue par tous les peuple de la terre depuis Caïn, Noé, et depuis Nemrod.


Mais elle avait été complètement déformée, par la rébellion et l'idolâtrie de l'homme. Les nations païennes cherchaient aussi à pacifier leurs dieux par des sacrifices, parfois même humains comme chez les Aztèques du Mexique. D'autre part, la viande des sacrifices aux idoles était aussi disponible aux peuples, les gens pouvaient se rendre dans les temples pour en manger, ou en acheter pour leur consommation personnelle, et communiaient ainsi avec l'autel de leurs dieux. L'apôtre Paul avait mêmes des problèmes sur ce sujet, avec l'église de Corinthe (1 Corinthiens 8: 1-13). La pratique était courante dans plusieurs villes de l'époque. En nos temps dit modernes, ces pratiques abominables ont disparu, du moins aux yeux du grand publique, car nous savons que plusieurs de nos politiciens et dirigeants des nations, se livrent à des pratiques sataniques et aux sacrifices d'enfants, qu'ils utilisent aussi pour leurs perversions sexuelles de dépravés. Mais ils subiront tous la pleine colère de Dieu bientôt, aucun n'échappera, soyez en assuré. Le temps est venu pour la vengeance du Dieu vivant, et nous nous en réjouissons grandement.

 

Mais retournons à notre sujet. Or on voit clairement aussi que ces paroles du Seigneur Jésus, sont reliées à celles de la Pâque avec ses disciples, le soir avant sa crucifixion. Mais ce n'était pas son intention, d'établir un rituel pour perpétuer la Pâque Juive sous des aspects supposément chrétiens, ni pour établir une pratique comme chez les religions à mystères; mais pour confirmer qu'il était le Messie, et de transmettre aux disciples le principe du renoncement qui est la vie éternelle.

 

Tout le concept de la Pâque de l'Ancienne Alliance, était prophétique et complètement centré, dans tous ces détails, sur son sacrifice pour le rachat de ses élus seuls. Lorsqu'il leur dit «Faites ceci en mémoire de moi», il ne leur disait pas, comme les tarés idolâtres se l'imaginent, de prendre un morceau de pain et une coupe de vin en sa mémoire. Au contraire, il inaugurait la liberté de la Nouvelle Alliance en son sang, en leur disant de se sacrifier les uns pour les autres, comme il se sacrifiait pour eux (Jean 15: 13). En faire un rituel ou mémorial est un blasphème hautin et de la pure idolâtrie. Si plusieurs de nous avons déjà tombé, dans le passé, dans ce piège infernal, nous rendons gloire au Seigneur Jésus pour nous en avoir délivré, par sa Sainte Présence qui est venue habiter en nous. Nous connaissons maintenant quelle est la vraie communion des élus avec Christ, et entre eux-mêmes.


Ce qui est nommé dans lesdites églises modernes, le Repas du Seigneur, l'Eucharistie, la Sainte Cène, est une fraude colossale perpétuée depuis vers la fin du premier siècle, par les sectes Judéo-chrétiennes. Il est généralement précédé, en nos temps modernes, par une autre fraude odieuse, le baptême d'eau. Les gens ne semblent pas réaliser que ces deux rituels provenaient de l'Ancienne Alliance de la loi, et non de la Nouvelle Alliance de la grâce. Ni ne réalisent-ils que tout le Nouveau Testament a été rédigé sous l'Alliance de la loi.

La loi est charnelle en le sens qu'elle provient de la lettre, mais la grâce est purement spirituelle car elle provient de l'Esprit. La lettre de la loi, les Saintes-Écritures, Ancien et Nouveau Testament, est utilisée comme un instructeur pour nous diriger et nous introduire à l'Alliance spirituelle de la grâce, dans la Sainte Présence de Christ qui vient habiter le cœur de ses élus, pour les délivrer ou sauver de l'Alliance de la loi avec ses rituels, ses ordonnances, et ses condamnations qui nous retenaient sous son esclavage et dans les liens de la mort.


Christ est la fin de la loi pour tous les élus qui sont donnés d'avoir confiance en Lui, car il a rempli toutes les exigences de la loi en leur faveur. En d'autres mots, le Nouveau Testament n'est pas l'Alliance de la grâce, mais il la contient dans sa révélation de Christ en nous, l'anticipation de la gloire. Nous réalisons donc qu'il n'y a pas deux Alliances dans les Saintes-Écritures, mais trois: l'Alliance de la loi, l'Alliance dans le sang de Christ, et l'Alliance de la grâce de sa Sainte Présence. La deuxième se réalisent pleinement dans la troisième, pour devenir dans leur association, la révélation de l'Alliance Éternelle des élus en l'Esprit des vivants, d'éternité à éternité.


Ainsi observer les rituels du baptême d'eau et le Repas du Seigneur est de se remettre sous la loi, et de porter la responsabilité et culpabilité de nos péchés, car la puissance du péché c'est la loi (1 Corinthiens 15: 56). En d'autres mots, c'est d'obéir et d'adorer un faux Christ, de suivre dans les voies d'un raisonnement fallacieux qui doit être rectifié, et cela se produit seulement par la Sainte Présence de Christ qui vient demeurer en ses élus.




LA COMMUNION DES ÉLUS VÉRITABLES


     Pour les faux chrétiens, communier signifie généralement deux choses: se rendre à l'église une ou deux fois par semaine. Prendre un café avant le culte, et discuter de la pluie et du beau temps avec d'autres, ou encore pour donner leurs opinions sur un passage de la Bible, ou de faire du commérage qui est leur sport favori. Ils appellent cela de la communion fraternelle. Puis ils prennent place dans leurs bancs, pour la deuxième phase de leur communion. On leur apporte un tout petit morceau de pain et une minuscule coupe de jus de raisin, qu'ils mangent et boivent tous ensemble, à un signal donné. Ils baissent la tête pour une minute dans des pensées farfelues, puis la relève pleinement satisfait de leur conduite méprisable. Ils appellent cela leur communion avec Christ, mais avec le Christ de leurs imaginations dépravées. Cette bouffonnerie ecclésiastique est une moquerie de la vérité et de la grâce de Christ, et une abomination déplorable. Ils indiquent clairement que la Sainte Présence de Christ n'est pas en eux, et qu'ils sont étrangers à la grâce du salut.

En général communier signifie, dans son essence primaire, pour un chrétien réel, de partager les merveilles de la grâce, des révélations, des instructions, des bénédictions, des peines et des misères, et des problèmes de la vie de tous les jours. Mais aussi d'offrir des solutions, des encouragements, du support, de l'entre-aide, et des prières. Ce terme implique par nécessité être d'un même Esprit, c'est à dire celui de Christ en nous. Un élu véritable ne peut donc avoir de communion avec un faux frère ou un faux chrétien, car la lumière n'a pas de communion avec les ténèbres.

La notion de communier porte différentes significations dans différents contextes: Être en union spirituelle ou affective avec d'autres personnes. Partager une condition, un sentiment, une connaissance, une découverte, une conviction. Être en union ou en accord avec une personne, avoir de la compassion, un lien intime ou amical. Avoir de l'affection pour un animal de compagnie, ou un attachement pour les choses de la nature. Passé de bonnes heures ou du bon temps. Se dédier ou consacrer à une personne, un projet, ou à une cause.

Comme élus, nous sommes en communion constante avec la Sainte Présence de Christ en nous, qui nous instruit et dirige dans ses voies, et nous protège contre nos ennemis. Mais dans un contexte très intéressant, qui se rapporte à la communion des élus, dans notre transformation finale, lors de l'Émergence de Christ en nous, le mot communier signifie «être fusionner», c'est à dire devenir un pour former une différente réalité ou existence. Cette définition est vraiment formidable, elle est très explicite dans sa révélation sur l'unification des élus dans la lumière du dernier moment, et d'une nouvelle continuité glorieuse et éternelle.



NOTRE COMMUNION AVEC LE MONDE CHARNELLE


     Nous n'avons aucun choix que de vivre, temporairement, dans un monde corrompu et dépravé. Nous devons travailler et combattre pour survivre. La vie n'est pas toujours plaisante, plus que souvent elle est pénible, désagréable et antipathique, surtout pour le chrétien véritable. Nous sommes environnés de toute part par la convoitise des yeux, de la chair, et l'orgueil de la vie, choses auxquelles nous devons résister. Si ça n'était du fait que la Sainte Présence de Christ habite en nous, nous péririons tous.

Nous devons donc être très vigilant dans notre communion avec ce monde, car n'oublions pas que nous sommes encore dans un corps de chair avec toutes ses faiblesses et limitations. Nous perdrons peut-être quelques combats dans la progression de notre formation, mais la victoire nous est assurée, car Christ en nous a déterminé toutes choses pour notre bien, et pour l'accomplissement de ses dessins. Son Esprit ne tardera pas à nous redresser et nous fortifier davantage.

Il ne faut donc pas se décourager, mais se réjouir sans cesse dans la communion de sa Sainte Présence, car Lui-même prend soin de nous en toutes choses. Il est notre Frère et notre Ami, notre Confident le plus intime, et ne nous abandonnera jamais. Puisque nous sommes des temples de sa Sainte Présence, la lumière de la vérité qui brille en ce monde de ténèbres, il veille sur nous, comme le Bon Berger veille sur ses brebis, et les protège des loups qui s'attaquent à son troupeau.

Si David a tué un lion et un ours de ses propres mains pour protéger son troupeau, combien plus le Divin Berger va déchirer en pièces ceux qui s'attaquent à nous et cherchent à nous détruire. Nous sommes donc en pleine sécurité entre ses mains, car nous lui appartenons. Il nous a racheté d'entre tous les hommes au prix de son sang, pour faire de nous la résidence de sa Sainte Présence qui habite en notre cœur. Ceux qui attaquaient le château d'un roi puissant assuraient leur ruine, et nous sommes le Château du Roi des rois, le Maître absolu de l'univers et de tout ce qu'il contient. La créature qui oserait s'en prendre à son Créateur et sa résidence sacrée, en récolterait des conséquences désastreuses.

 


LA COMMUNION DANS NOTRE GLORIFICATION


     En ce moment même, notre communion avec Christ en nous, nous fait les récipients de grandes et merveilleuses bénédictions. Il se produit une interaction réciproque phénoménale entre notre nature humaine et la nature de Christ, dans laquelle il prend sur Lui toutes nos faiblesses, nos défaillances, nos découragements, nos écarts, nos épuisements, nos erreurs, nos goûts, nos incertitudes, nos inclinations, nos inconsistances, nos angoisss, nos frustrations, nos lâchetés, nos malaises, nos misères, nos partialités, nos platitudes, et nos vices, et nous transmet, dans sa grâce, la révélation de son identification dans sa désignation de JE SUIS, l'Admirable Souverain Suprême, le Tout-puissant, à qui rien n'est impossible. Il nous communique et diffuse en nous toutes les merveilles de sa grâce (voir: Les merveilles de la grâce du salut), et nous accorde la pleine réalisation que sa grâce nous est pleinement suffisante, car sa puissance agit en nos faiblesses (voir: La suffisance de la grâce). Ceci est la communion véritable de Christ en nous, dans l'interaction de notre formation.

Mais il y a aussi une autre phase de cette communion, la plus merveilleuse de toutes. Nous parlons ici de la communion dans notre exaltation en notre glorification éternelle. L'aboutissement de notre formation, se dévoile dans un échange de nature prodigieux, inimaginable et inconcevable au commun des mortels. Le mot échange signifie littéralement:

Action ou fait de donner une chose et d'en recevoir une autre en contrepartie. – Action de remplacer quelque chose par quelque chose d'autre.

Dans notre contexte, il s'agit du remplacement d'une vie par une autre de nature sublime, c'est à dire un changement total et instantané d'existence. Le changement sera radical, absolu, complet, et fondamental pour nous adapter à une forme d'existence incomparable et inconcevable. Même si nous savons que nous allons être transformé en l'image parfaite de Christ, en ce que nous serons Lui et Il sera nous, nous ne pouvons le concevoir dans toute sa gloire, du temps que nous sommes encore dans la chair.

Cet échange de vie, implique le transfert instantané de qualités divines, qui altéreront notre physionomie en un clin d'œil. Nous serons revêtus de la nature humaine de Christ dans toutes ses perfections, et nous serons attribués aussi tous les aspects de sa divinité. En d'autres mots, nous existerons dans l'Alpha et l'Oméga, le commencement et la fin de toutes choses, car le temps n'existe pas dans l'éternité, tout est d'un éternel présent, tout est immuable et sans changement dans l'épanouissement d'une gloire sans fin, et de merveilles en merveilles.

Or ce phénomène prodigieux sera brusque, c'est-à-dire qu'il se manifestera dans un mouvement imprévu avec violence et rapidité. Les peuples de la terre seront préoccupés avec le vaccin infernal contre le coronavirus chimérique. Les dirigeants des nations penseront pouvoir finalement atteindre leur but machiavélique de domination mondiale. Les élus véritables persisteront dans leur résistance, et les hommes en général se moqueront d'eux, et ils seront traités comme des ennemis de leur liberté illusoire, voir même comme des lépreux, des criminels et des meurtriers. Mais tous seront pris par surprise, sauf les élus, lorsque soudainement, en un clin d'œil, tout sera terminé dans une lumière éblouissante de la gloire de Dieu qui surgira de ses élus, et tous seront réduit en poussière par le feu divin qui les consumera. Les cieux et la terre passeront avec fracas, et on se retrouvera tous en Christ, dans une nouvelle existence glorieuse et sans fin. Le moment est ici, nous y sommes. Amen !

Or, à celui qui peut vous préserver lui-même de chuter, et vous établir sans imperfection devant la présence de sa gloire, dans une joie extrême,

À L’ESPRIT DES VIVANTS, seul sage, notre Sauveur, soient gloire et majesté, force et puissance, maintenant et pour toujours envers chacun de nous! Amen. (Jude 24, 25)


 

À Christ seul soit la Gloire

Amen !


Rédigé par Jean leDuc sous la direction de Christ

pour la communauté mondiale des élus.






  


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