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A Christ seul soit la gloire !

PARALLÈLES DES

DEUX MINISTÈRES DE JÉSUS

 

Texte d'Ariel sur le transfert d'un ministère de puissances à un autre.

 

Par Jean leDuc 

Janvier 2022

  



DEUX DIFFÉRENTS MINISTÈRES

D'UNE SEULE PERSONNE  


LES IMPLICATIONS DE L'INCARNATION

POUR LES ÉLUS 

 

LES IMPLICATIONS DE LA CRUCIFIXION

POUR LES ÉLUS  


LES IMPLICATIONS DE LA RÉSURRECTION

POUR LES ÉLUS  


LES IMPLICATIONS DE L'EXALTATION

POUR LES ÉLUS



DEUX DIFFÉRENTS MINISTÈRES

D'UNE SEULE PERSONNE


     Faire un transfert de pouvoirs n'est pas une chose nouvelle. Ce procédé se voit depuis l'antiquité, et il se retrouve de nos jours aux niveaux de la politique, de la religion, des grandes entreprises, et de l'industrie. En anglais on appelle cela un merger, c'est à dire faire un fusionnement de pouvoirs et de directions. Mais notre sujet se rapporte à quelque chose qui n'a jamais été conçue par les hommes, car il se rapporte à un transfert de puissances ou fusionnement de ministères au niveau de la divinité, ce qui échappe à la conscience des mortels. Nous parlons ici d'un transfert des puissances d'un ministère terrestre du Seigneur Jésus, à son ministère spirituel d'habitation en ses élus seuls. En d'autres mots, il s'agit du décret d'élection mis en vigueur par la puissance d'exaltation, et activé ou vivifié dans le cœur des élus par la Sainte Présence de Christ qui vient habiter en eux en permanence.


La vie de Jésus en ce monde est caractérisée par quatre facteurs déterminants très révélateurs:


son incarnation,

sa crucifixion,

sa résurrection,

et son exaltation, et chacun de ces éléments porte un grand nombre d'implications pour les élus, particulièrement au niveau du parallèle de la substitution, terme qui signifie un remplacement, un transfert, un changement, et un héritage.

Très peu de chrétiens réalisent que le Seigneur Jésus avait un double ministère:

  1. Celui de Souverain Sacrificateur, c'est à dire celui qui est désigné pour offrir le sacrifice pour les péchés du peuple, et dans lequel il était Lui-même le sacrifice comme Agneau de Dieu.

     
  2. Et celui de Consolateur du Grec parakletos qui porte le sens d'un adjoint, un allié indissociable ou comme un ami intime, un confident avec lequel on partage les choses cachées en notre cœur. En d'autres mots, il s'agit de l'Esprit de Vérité ou Réflexion véritable de Christ en nous, qui nous instruit et nous dirige dans notre formation (1 Jean 2: 27).


Ces deux différents ministères se complètent ou se fusionnent l'un dans l'autre, et se convergent vers un seul et même but en faveur des élus. Il y a évidemment des parallèles et des échanges importants entre ces deux ministères, dont l'un est terrestre et l'autre céleste.


Mais le ministère terrestre est tout ce qui importe pour le christianisme contrefait moderne, car la compréhension des pseudo-chrétiens est purement charnelle, intellectuelle, et émotionnelle, elle n'est que présomption, conjecture, et supposition. Ils suivent les traditions des hommes dans leurs interprétations ecclésiastiques des textes. Ils ne peuvent en comprendre les implications réelles, car elles sont spirituelles et demandent d'avoir véritablement la Sainte Présence de Christ qui habite en eux, ce qui est réservé strictement aux élus véritables. Ils n'ont même aucune notion d'une Sainte Présence de Christ, le sujet leur est complètement étranger, et certains idiots la considèrent même comme du spiritisme. Ils n'ont donc aucune connaissance de la vérité, mais seulement une approximation ou contrefaçon, selon l'esprit de duplicité qui les anime.


Le point principal qui embrouille la mentalité des réprouvés et imposteurs, est leur conception du Saint-Esprit. Pour eux il s'agit de la troisième personne dans leur trinité chimérique et babylonienne. Ils le considèrent comme une personne distincte à part du Père et du Fils, comme une entité obscure et nébuleuse qui échappe à leur compréhension. C'est pour cela qu'ils nomment cette doctrine abominable, un mystère. Pourtant le Seigneur Jésus est clair sur l'identité du Saint-Esprit (Évangile de Jean, Chapitre 14). On peut donc le connaître, il n'est pas un étranger ni une puissance abstraite ou mystique pour le chrétien authentique. Il est le Seigneur Jésus Lui-même dans son ministère d'exaltation comme Sainte Présence, et de là les deux ministères de Christ. Il est donc impossible pour une personne qui souscrit à l'idolâtrie infernale de trois personnes en Dieu, de connaître cette vérité essentielle au salut, car elle ne vient pas du raisonnement de l'homme, mais d'une révélation de Christ envers ses élus seuls.

 

Donnons la définition réelle de ce qu'ils considèrent comme un grand mystère:

Le Père n'est pas une personne, mais un Esprit éternel qui est la Source ou Origine de toutes choses. Le Fils est l'engendrement de cet Esprit dans un corps de chair. Le Saint-Esprit est sa Sainte Présence parmi nous. Les trois sont une seule et même personne unique, à savoir Jésus-Christ qui est l'enveloppe visible et corporel du Père invisible et incorporel, et le Saint-Esprit est sa Sainte Présence qui habite en ses élus véritables. Lorsque Jésus parle du Père, il parle de l'Esprit éternel qui est la Source de son Origine qui demeure en Lui comme nature divine, et dont il est l'incarnation.


Il n'y a donc pas trois, mais une seule Personne en Dieu à savoir JÉSUS, notre Seigneur et Sauveur. Mystère résolu une fois pour toutes, mais seuls les élus sont donnés d'en saisir la vérité. La seule façon que notre Admirable Esprit des vivants puisse se faire connaître aux hommes mortels, était de s'incarner comme un d'eux, afin de réaliser son intention Suprême de créer une nouvelle race parfaite avec ses élus seuls, à son image et sa ressemblance, c'est à dire à l'image de Christ.




LES IMPLICATIONS DE L'INCARNATION

POUR LES ÉLUS

     Que notre Admirable Esprit des vivants et seul Sauveur, le Seigneur JÉSUS, s'est formé miraculeusement un corps de chair dans le sein d'une vierge, est la doctrine de base du christianisme historique et authentique. Elle est essentielle à la grâce du salut. Ses implications sont énormes et multiples, dont la première est le renoncement de l'Esprit des vivants en faveur de ses élus, tel que stipulée et déterminée dans le décret d'élection depuis avant la fondation du monde, et donc assurée de se réaliser dans le cours de l'histoire humaine. Aucun ne peut en changer la prémisse, elle est basée sur le roc de la Souveraineté absolue du Dieu Tout-puissant qui est en parfait contrôle sur toute sa création.


Le Roi de l'univers, le Créateur de toutes choses, est venu parmi nous, non dans la noblesse d'un aristocrate ou dans la dignité d'un homme respectable plein d'honneurs; mais dans l'humilité d'un pauvre serviteur commun, rejeté par tous et considéré comme un marginal à qui on ne doit aucun respect. En apparence, il n'avait rien de spécial pour attirer le regard. Il était insignifiant aux yeux de son propre peuple, une personne dérisoire qui était le sujet de leurs moqueries et de leurs insultes.

Mais dans son ministère il guérit des malades et des estropiés, rendit la vue aux aveugles, ressuscita des morts, marcha sur les eaux, commanda aux vagues et aux vents, nourrit des milliers de personnes avec cinq pains et deux poissons, redressa des consciences déréglées et affolées, et enseigna la vérité par des paraboles, puis reprit sévèrement les dirigeants de la loi qui s'érigeaient en maîtres sur le peuple et cherchaient constamment sa mort, car ils ne pouvaient tolérer la lumière de la vérité.

La source de sa puissance était la divinité suprême, le Père éternel (car le mot père signifie source et origine) qui résidait en Lui comme nature divine, dont il était l'enveloppe charnelle, visible et corporelle. Il était parfaitement Dieu et parfaitement Homme en un seul corps parfait et immortel, libre de la tache du péché, le premier-né d'une nouvelle race céleste et éternelle, dans une nouvelle existence humaine et divine qui ne sera plus restreinte par la matière.

Le parallèle de l'incarnation avec les élus, est notre nouvelle naissance miraculeuse, par la Sainte Présence de Christ qui vient habiter en nous, ses élus véritables. De Lui nous recevons sa foi ou assurance de posséder la vie éternelle qui est notre héritage. De la même manière qu'il est né miraculeusement en se formant corps de chair dans le sein d'une vierge, nous naissons spirituellement dans le sein de sa Sainte Présence qui nous habite. Ce processus de régénération a débuté dans le décret d'élection, dans lequel nous avons été imprégné de l'Esprit de vérité, désigné pour se manifester par le ministère de Christ, en chacun de ses élus, comme notre Substitut et notre Médiateur. Par Esprit de Vérité, nous signifions la Réflexion de la Sainte Présence de Christ qui se manifeste dans nos raisonnements, nos pensées et nos paroles qui expriment la vérité, autant douce et merveilleuse qu'elle soit, autant radicale et brusque qu'elle soit.

La vérité est un principe absolu de la Souveraineté de Dieu, elle est l'Expression de l'essence de son existence éternelle. Elle n'est pas désignée pour plaire à l'homme, mais strictement à l'Esprit des vivant qui en donne la révélation à ses élus seuls, selon le bon plaisir de sa volonté et la gloire de son Nom. Elle n'est donc pas une faculté humaine de l'intellect pour appréhender les choses de ce monde temporel, ni un concept philosophique abstrait; car elle est stable, immuable, et éternelle. Elle est l'essence même de notre appel à renaître en Christ par sa Sainte Présence qui nous habite. En d'autres mots, elle est la Parole de Dieu manifestée dans la chair de ses élus qui sont vivifiés par elle, c'est à dire qu'elle est la lumière dans leur conscience qui les instruit et les dirige dans la vérité révélée.

Dans Jean 14: 2,3 nous voyons que Jésus dit à ses disciples:

Il y a plusieurs assurances dans la résidence de mon Père; si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer un accommodement

Et quand je serai parti, et que je vous aurai préparé un accommodement, je reviendrai, et vous prendrai avec moi, afin qu'où je serai, vous y soyez aussi.

Or l'accommodement que le Seigneur Jésus nous préparait, afin qu'il puisse habiter en nous et nous en Lui à son retour le jour de la Pentecôte et depuis jusqu'à la fin des temps, était son sacrifice d'expiation en notre faveur, pour nous racheter du péché et de la mort à cause des exigences de la loi. Étant libéré de la condamnation de la loi morale comme notre Substitut, il pouvait ainsi prendre place en nous pour faire sa résidence permanente, faisant de chacun de nous des temples de sa Sainte Présence.

Nous sommes donc les héritiers de tous les aspects de son ministère terrestre, et nous détenons, par sa Sainte Présence qui nous habite, toutes les puissances merveilleuses qu'il manifesta parmi le peuple. En d'autres mots, nous pouvons faire les mêmes miracles qu'il a fait, si sa Sainte Présence en juge qu'il en soit bon et utile pour la gloire de son Nom. Il est Celui qui nous dirigera infailliblement dans ce domaine si la nécessité se présente, et nous ne pourrons pas résister à son appel et sa direction, sa volonté s'accomplira.


Or nous ne sommes pas comme les charismatiques et nous n'en faisons pas parade. Mais la puissance qui est en nous est réelle et efficace, si le Seigneur désire se servir de nous pour rencontrer des besoins qu'il a déterminé d'avance. Une fois le besoin rencontré, la puissance est retirée et devient latente en nous, jusqu'à il soit déterminé de l'utiliser de nouveau pour la gloire de l'Esprit des vivants. Notre Dieu est un Dieu de miracles, et nous sommes ses disciples. Il se sert de nous comme bon lui semble, selon le bon plaisir de sa volonté et la gloire de son Nom merveilleux.


N'en soyez pas surpris, car nous pouvons vraiment guérir des malades et même ressusciter des morts, si la Sainte Présence de Christ qui nous habite, le juge nécessaire pour l'accomplissement de ses dessins, car c'est Lui qui agit en nous et à travers nous. On ne peut se servir de ces grâces comme bon nous semble. Si nous ne sommes pas appelés clairement et irrésistiblement pour agir, on ne bouge pas, on ne fait rien, car nous ne pouvons rien faire sans Lui.


Le Seigneur prend soin des siens, comme le Bon Berger prend soin de ses brebis, et tout ce qu'il nous pousse à faire est toujours en faveur de son troupeau, et non celui d'un autre. Nous devons donc demeurer à l'intérieur de l'Enclos, et non s'aventurer à l'extérieur. Il ne faut jamais oublier que toutes les puissances merveilleuses de Christ, résident dans l'humilité de son renoncement en notre faveur, et dans lequel nous devons demeurer. Nous n'avons aucun droit de nous réclamer quoique ce soit, car à Lui seul appartient toutes les puissances, les honneurs, et la gloire, pour tous les temps et éternellement.

 


LES IMPLICATIONS DE LA CRUCIFIXION

POUR LES ÉLUS

     Sans aucun doute, le point central du christianisme historique, est la mort de Christ sur la croix dans des douleurs atroces inimaginables. Cet aspect de la crucifixion est connu du monde entier depuis de nombreuses générations. Mais la plupart des gens en sont indifférents, surtout en nos temps modernes. Tandis que ceux qui se disent chrétiens en ont qu'une croyance superficielle, et d'autres en ont qu'une foi intellectuelle ou émotionnelle. Devant la croix, quoique touchés dans leur cœur, ils gardent leur indépendance pour maintenir intact la dignité humaine. Ils en reconnaissent l'infamie, puis considèrent comment les hommes peuvent être si cruel. Alors ils retournent à leur vie normale de tous les jours, et continuent d'assister au cultes idolâtres de leurs églises, sans trop être bouleversés par leur souvenir de la croix.

Mais certains en ont reçu une certaine curiosité qui les pousse à questionner leurs pasteurs, qui ne tardent point à manipuler leurs émotions de pécheurs, et les diriger dans la notion du libre-choix pour accepter Christ comme leur Sauveur personnel, afin d'apaiser leur conscience, et leurs proposent avec insistance de se faire baptiser par immersion, ou encore de recevoir le fameux baptême du Saint-Esprit avec l'évidence du parler en langues insensé. Puis on les pousse à répandre leur évangile particulier d'une bonne nouvelle factice, pour remplir les bancs et les coffres de leurs églises, incluant évidemment les poches des pasteurs, après un culte d'adoration idolâtre à leur dieu nombrilleux. Cela est grosso-modo les résultats de leur souvenir de la croix dont ils ne comprennent absolument rien. En d'autres mots, avoir la connaissance d'un fait historique, ne change pas le cœur d'une personne.

La mort de Christ sur la croix est le renoncement total le plus sublime, qui implique l'abaissement dans l'humilité la plus suprême, et la soumission la plus profonde de l'être. Jamais un homme n'a traversé une telle souffrance et une telle expérience. La pensée même nous arrache le cœur dans des gémissements affreux. On ne peut s'imaginer les souffrances horribles d'un tel sacrifice en notre faveur, car Christ est mort pour nous racheter de tous nos péchés avant même que nous naissions en ce monde dépravé, et cette réalisation époustouflante nous éblouie.

Son corps sur la croix n'était qu'une masse de sang, sa peau était déchirée en lambeaux. Son cœur était tordu de douleurs, tous les nerfs de son corps étaient à vif dans des élancements les plus affreux. Les membres de son corps étaient disloqués, et il subissait des convulsions et contractions horrifiantes. Il était dans l'agonie la plus totale, et pourtant il ne disait pas un seul mot, on entendait aucune plainte sortir de sa bouche. Il était comme une brebis muette qui va à l'abattoir. On ne pouvait plus distinguer son visage tellement il était meurtri, mais on put entendre ses dernières paroles sur ses lèvres tremblantes: Père, pardonne leurs offenses, car ils ne savent pas ce qu'ils font. Puis il dit: Moi Dieu, moi Dieu, à ceci j'ai été désigné. Puis il lâcha un crie: Tout est accompli, et il rendit l'âme.

Clairement notre Dieu et seul Sauveur, le Seigneur Jésus, avait été prédestiné avant la fondation du monde à mourir sur la croix pour le rachat de ses élus seuls (1 Pierre 1: 2, 17-20). Ses paroles de pardon par le Père en Lui comme nature divine, se rapportent à cette vérité, car tous ceux qui étaient impliqués dans sa mort ne pouvaient faire autrement. En fait, s'ils auraient connu l'intention suprême dans le sacrifice de la croix, ils n'auraient pas crucifié le Seigneur de gloire (1 Corinthiens 2: 7,8), ce qui aurait annulé la grâce du salut, assurant la destruction de la race humaine dans le moment même de leur refus. Lorsque les pharisiens et le peuple lui crièrent des injures, un soldat romain au pied de la croix déclara:

Celui-ci est véritablement Dieu lui-même comme Fils.

Et à ce moment le voile dans le temple, de l'épaisseur du poing d'un homme, fut déchiré miraculeusement du haut en bas, indiquant que la voie était ouverte à tous, pour entretenir une relation avec l'Esprit des vivants dans le lieu très saint, par le sacrifice de la croix. La rançon pour les péchés fut payée à plein, et la colère de Dieu fut apaisée. La validité des sacrifices du temple fut abolie, la prêtrise, les services, les ordonnances, et les cérémonies religieuses n'étaient plus nécessaire, et l'autorité du temple comme représentant de la loi fut annulée. La prophétie du Seigneur Jésus s'accomplit à la lettre, et quarante ans après le temple et Jérusalem furent complètement détruit par les armées romaines, mais aucun vrai chrétien ne périt. Il en sera ainsi à la fin des temps, sauf dans un différend contexte et de différentes façons (Apocalypse 20: 9,10).

Tous ces éléments et plus, se retrouvent dans le ministère spirituel de Christ, qui vient habiter le lieu sacré du cœur de ses élus, aucun n'y manque. Par sa Sainte Présence en nous, nous sommes attribués, gratuitement et sans aucune condition, tous les mérites du sacrifice de la croix, comme s'ils étaient les nôtres en propre, et cela par le principe de la substitution, Christ devenant notre remplaçant et prenant le contrôle total de notre vie dans tous les moindres détails. Nous lui appartenons car il nous a racheté du péché et de la mort, et nous lui sommes soumis par l'appel irrésistible de la grâce qui nous attire à Lui, car Lui seul a les paroles de la vie. De sa Sainte Présence en nous, coulent des fleuves d'eau vive, qui nous remplissent de toutes les merveilles de sa grâce. Nous sommes donné de le connaître tel qu'il est comme JE SUIS dans toute l'essence de son existence. Il est non seulement notre Roi, notre Créateur, notre Sauveur et notre Seigneur, mais aussi notre Frère et notre Ami le plus intime, et il demeure en nous à la louange de sa gloire.

Sa Sainte Présence est notre nouveau cœur qui bat par les souffrances de ses contractions sur la croix. Notre nouveau corps est formé dans le sang de ses douleurs. Son renoncement se manifeste en nous et devient l'essence de notre nouvelle naissance dans les impulsions de sa Réflexion qui engendre les afflictions de notre formation. Nos raisonnements et nos pensées sont traversés par les épines de sa couronne, et enfoncés dans la réalisation de nos conceptions. Ses paroles tremblantes mais certaines et pleines de persuasions, se manifestent dans nos expressions de la vérité. Ses mains clouées et attachées nous empêchent d'agir comme des insensés, afin de nous préoccuper des choses d'en haut. Ses pieds cloués nous restreindre dans nos déplacements, afin que nous allions dans la bonne direction selon sa volonté. Et son dernier cri est notre cri de victoire, afin que nous puissions nous reposer avec confiance dans son œuvre accompli en notre faveur. En d'autres mots, par le principe de la substitution, le sacrifice de la croix est notre sacrifice, car nous avons été crucifiés avec Christ (Galates 2: 20), et nous sommes véritablement mort à ce monde de ténèbres.

Or nous sommes désormais, depuis ce temps, dans une période de grâce, pour permettre à tous les élus d'entrer dans la promesse de leur héritage par l'appel à renaître du message de la grâce, que nous partageons avec les élus seuls. Nous n'avons aucun intérêt à partager la grâce avec les réprouvés et imposteurs, car nous sommes interdits par Christ Lui-même de jeter nos perles aux chiens et aux pourceaux, et Dieu sait qu'ils sont nombreux, particulièrement au niveau des sectes dites évangéliques, sans négliger le protestantisme traditionnel et le catholicisme.

La période de grâce que nous avons mentionné, se nomme aussi le millénaire spirituel du règne de Christ dans ses élus véritables. Christ règne présentement, le Royaume de Dieu est actuel et factuel dans le moment même. Nous attendons seulement et avec anticipation, l'Émergence de Christ de ses élus, pour notre transformation dans la gloire éternelle d'une nouvelle existence dans un bonheur sans fin.

 


LES IMPLICATIONS DE LA RÉSURRECTION

POUR LES ÉLUS

     Après la mort de Christ sur la croix, vient sa résurrection d'entre les morts. Tout comme les ténèbres ne peuvent retenir la lumière, la mort ne peut retenir la vie, et Christ est la vie. Le Seigneur Jésus passa exactement trois jours et demi dans le domaine de la mort. Ce court temps correspond à une période d'inactivité d'un élu, avant qu'il reçoive l'appel efficace de la grâce pour renaître en Christ. Elle doit être comprise comme s'appliquant aux élus dans un sens figuratif et non littéral. Elle peut être d'une très longue durée, comme d'une courte saison. Elle implique de nombreux conflits aux niveaux de l'intellect et des émotions, et dans laquelle un élu se pose des questions sur le pourquoi de son existence. Il a en lui une curiosité qu'il ne peut comprendre et passe sa vie à l'analyse dans les moindres détails, et cherche à faire mieux mais il ne réussit jamais complètement, tout est toujours à recommencer et il est misérable dans cette condition. Il cherche à saisir le bonheur, mais il s'envole constamment. Il a grandement besoin d'être libéré de sa condition de misère, pour atteindre son but d'une vie meilleure.

Cette petite anecdote n'est que pour illustrer notre sujet sur la notion d'émancipation, terme qui signifie: L'action de se libérer ou de se dégager d'une dépendance morale, des préjugés de son époque. Dans notre contexte il s'agit d'être dégagé de la pression extrême du fardeau insupportable de la loi morale, qui accuse notre conscience devant Dieu pour nos transgressions de ses principes, et exige notre mort en retour pour la réparation des relations avec l'Esprit des vivants. Mais le prix est trop élevé pour l'homme, car la loi exige un sacrifice pur et sans taches, c'est à dire sans péchés, et tous les hommes sont pécheurs sans exception et ne peuvent donc se racheter eux-mêmes. Ainsi Christ qui était sans péché paya le prix à notre place, c'est à dire comme notre Substitut. Il prit sur lui l'extrême pression du sacrifice de la croix dans des douleurs atroces qui étaient réservées à chacun de nous. Lorsque nous réalisons qu'il fit cela pour toutes les transgressions de tous les élus, dont le nombre est incalculable, on ne fait que commencer à comprendre l'intensité inimaginable de la pression extrême que Christ a subie à notre place.

Or la résurrection est le relâchement du fardeau de cette pression dans la lumière glorieuse d'une transformation corporelle prodigieuse qui surpasse notre compréhension. Néanmoins la résurrection n'était qu'une phase de préparation pour une plus grande gloire à venir, celle de l'exaltation.

Dans le parallèle des deux ministères, la résurrection correspond à la gestation des élus. Comme Christ était dans la tombe préparant son corps pour l'émancipation ou libération totale du fardeau de la chair, nous sommes dans un stage de formation qui nous édifie dans une nouvelle vie, en attente de notre exaltation lors de notre transformation finale. Nous vivons présentement une vie de résurrection, mais nous vivrons aussi une vie dans la gloire éternelle.

Nous sommes maintenant dans un état d'apprentissage qui nous prépare pour une nouvelle existence sublime. La Sainte Présence de Christ qui nous habite, a pris en charge notre éducation, en préparation d'une nouvelle habitation majestueuse. Les leçons sont parfois pénibles, mais elles sont pour notre bien. Notre Maître nous assure qu'aucun de nous ne faillira son examen final, nous serons tous diplômés dans l'expertise de la divinité céleste et éternelle, et nous construirons un monde nouveau qui n'aura pas de fin.


 

LES IMPLICATIONS DE L'EXALTATION

POUR LES ÉLUS

     Comme nous l'avons déjà mentionné dans d'autres documents, aucun sujet n'est plus méconnu que l'exaltation de Christ. Nous en avons donnés quelques explications que nous mentionnerons de nouveau ici. Nous n'avons toutefois pas touché au parallèle qu'il détient entre les deux ministères de Christ, et c'est ce que nous entreprendrons dans ce chapitre, par la grâce de l'Esprit des vivants et sous la direction de la Sainte Présence de Christ en nous.

Commençons avec la chambre-haute où les premiers disciples se réunirent le jour de la Pentecôte, le cinquantième jour après le Sabbat annuel. Ce jour spécial dans le calendrier des Juifs ou plus précisément des Judéens, était la fête des tentes ou fête des tabernacles, qu'on pourrait nommer aussi, en demeurant fidèle aux contextes historique, cultuel, et biblique, la fêtes des temples. En fait, les mots «tente, tabernacle, et temple» signifient une seule et même chose. Cette dernière désignation établie un rapport étroit entre les parallèles des deux ministères du Seigneur Jésus-Christ, comme nous voyons avec ces paroles de l'apôtre Paul: «Ne savez-vous pas que votre corps est le temple de la Sainte Présence, qui est en vous, et qui vous a été donné de L'ESPRIT DES VIVANTS, et que vous n'êtes point à vous-mêmes?» (1 Corinthiens 6: 19).

Mais retournons, pour le moment, à la chambre-haute. Par chambre haute ou huperoon dans le Grec, il est généralement admis qu'il s'agit d'une pièce de la partie supérieure d'une maison, quelquefois construite sur le toit plat, où les Orientaux avaient coutume de se retirer pour se reposer, méditer, ou prier. Mais le mot chambre porte aussi le sens d'assemblée, d'association, de conseil, de consulter, et d'enseigner, tous en relation avec la grâce de l'aspiration et de l'anticipation. Par analogie la chambre-haute signifie les aspirations les plus élevées et les plus sublimes, et indique les anticipations de la gloire à venir, dans la communion ou partage des élus. En d'autres mots, la communion des élus est arrosée par l'huile de la grâce, c'est à dire qu'elle est une grande bénédiction, pleine de merveilles et de révélations formidables. La communion est l'aspiration des élus, décrite comme «L'attraction ou élans que subissent les forces vitales». C'est à dire, selon les parallèles des deux ministères, que nous sommes attirés irrésistiblement, par la puissance de la Sainte Présence de Christ en chacun de nous, pour communier ensemble car nous avons tous un même Esprit. Le but est l'apprentissage ou échanges de données vitales, dans notre formation qui anticipe notre union dans la gloire à venir.

On peut ainsi appeler la chambre-haute, lieu ou condition d'être de la rencontre de nos aspirations, la chambre des merveilles de la révélation divine. C'est exactement ce qui se produisit avec les apôtres le jour de la Pentecôte.

C'est dans une telle condition et un tel endroit que se rendirent les apôtres avec les femmes, ainsi qu'avec Marie, mère de Jésus et les frères de Jésus (Actes 1: 13). Ils revenaient de la montagne des oliviers où ils venaient d'assister à un évènement prodigieux, et ils en étaient tous grandement émerveillés, voir même stupéfaits. Ils en furent tous profondément marqués, et se questionnèrent, cherchant à en comprendre toutes les implications, car ils n'avaient pas encore reçu la Réflexion de la Sainte Présence de Christ en eux. Mais cela ne tarda pas à venir.

Ils avaient été témoins de l'exaltation de Christ, nommée aussi l'ascension. Contrairement à la notion populaire, l'exaltation est en réalité essentielle à la grâce du salut. Le mot exaltation détient, entre plusieurs synonymes, ceux d'animation, divinisation, glorification, sublimation. Ce dernier est particulièrement intéressant, par rapport à l'exaltation de Christ, en ce qu'il signifie:

Première préparation nécessaire consistant à purifier la matière par le moyen de la dissolution et de la réduction en ses principes, afin de permettre, quand elle est libérée de ses liens. Opération consistant à faire passer un corps directement de l'état solide à l'état gazeux, sans passer par l'état liquide.

Ainsi nous obtenons la description de l'exaltation de Christ, comme étant un état de transparence qui laisse passer la lumière éblouissante de la gloire de Dieu, à travers un corps physique qui devient graduellement invisible à l'œil nu. Jésus devint ainsi graduellement transparent devant ses disciples qui virent sa gloire, jusqu'à ce qu'il devienne complètement invisible. Il avait traversé le voile de sa chair (Hébreux 10: 20), pour pénétrer intérieurement dans le Sanctuaire Céleste de sa nature divine, dévoilant à ses disciples le trône de sa Majesté Suprême, et la grande multitude d'êtres vivants qui s'y trouve, de son nom l'Esprit des vivants. En d'autres mots, les disciples furent donnés un bref aperçu de l'éternité, et de la gloire qui leurs est réservée.

Ce qui signifie que Jésus a donc été exalté et glorifié, avec son corps de chair ressuscité, dans la divinité, devant ses disciples qui en furent complètement émerveillés et frappés de stupéfaction. Qui d'entre nous ne le serait pas, à voir de nos propres yeux le Seigneur Jésus dans toute sa gloire, s'asseoir sur le trône de la Majesté Suprême. Notre joie serait tellement grande, que nous ne pourrions plus supporter la vie en ce monde de ténèbres.

Les apôtres, qui étaient présents lors de l'ascension ou exaltation du Seigneur Jésus, furent privilégiés de recevoir une grâce vraiment spéciale, qui ne fut jamais accordée à aucun homme auparavant. Le Seigneur Jésus était retourné à sa gloire première comme la Source ou Père éternel, pour débuter son ministère spirituel d'exaltation, c'est à dire comme Paraclet ou Consolateur, celui qui apporte du secours, qui apporte la délivrance ou le salut, et qui fortifie par sa Sainte Présence. Les mots Consolateur et Sauveur sont ainsi deux aspects d'une même réalité, d'un même ministère dans la grâce du salut. En d'autres mots, Jésus est notre Souverain Sacrificateur, et aussi notre Consolateur, par sa Sainte Présence qui nous habite.

Le mot «ciel» qui suit immédiatement le mot «élevé» dans l'ascension du Seigneur Jésus, confirme davantage toutes ces choses, car dans le Grec, le mot «ciel» ou «ouranos» signifie «ce qui est très-haut», et rien n'est plus haut que la divinité Suprême.

Ce fut la dernière fois qu'ils virent Jésus dans son corps de chair. Dorénavant ils ne le verraient plus selon la chair, mais selon la Réflexion de sa Sainte Présence, qui vint habiter en chacun d'eux, quelque temps après, le jour de la Pentecôte, et depuis jusqu'à la fin des temps dans tous les élus véritables. Nous entrons ainsi dans un fait déjà accompli en notre faveur, par le principe du renoncement et de la substitution.

Maintenant qu'en est-il de la nuée et des deux hommes vêtus en blanc ? Ces deux s'expliquent dans un même souffle. Premièrement le mot «nuée» ne signifie pas les «nuages dans le ciel» que nous voyons à tous les jours, mais la nuée du Shekinah ou Sainte Présence, qui apparut dans le temple de Salomon lors de sa dédicace (2 Chronique 5: 12-14). Remarquez qu'ils étaient cent vingt sacrificateurs, et qu'il y avait aussi cent vingt disciples dans la chambre-haute lors de la Pentecôte (Actes 1: 15). L'Esprit des vivants est souvent illustré dans la Bible comme étant entouré d'une nuée. Dans le Grec le mot est «nephele» et signifie «une multitude», et représente une armée de témoins. En d'autres mots, il indique la multitude des élus dans le Sanctuaire Céleste, qui entourent la Sainte Présence de l'Esprit des vivants, dans le royaume de sa gloire. Les deux hommes vêtus en blanc, qui apparurent aux disciples au moment de l'ascension de Christ, étaient donc des élus vêtus de la justice éclatante de Dieu, pour leur donner le message que Jésus était pour revenir de nouveau dans la même gloire qu'il les avait quittés, ce qui se produisit le jour de la Pentecôte. Ainsi le parallèle est établi aussi avec l'apparition finale de Christ en ce monde, lors de son surgissement du cœur de ses élus, dans une lumière glorieuse qui les transformera tous en son image, dans la splendeur de sa Majesté.

Cette phase finale de notre délivrance, se nomme l'Émergence de Christ. Un évènement similaire à l'ascension, s'était produit lors de la transfiguration de Jésus, quand Moïse et Élie apparurent à ses côtés, et c'est probablement les deux mêmes hommes qui apparurent aux disciples au moment de l'exaltation, qui nous ouvrit la porte à l'éternité, pour que nous puissions y entrer.

La Pentecôte marque le début officiel de la Nouvelle Alliance de la grâce, nommé aussi le temps de l'Église, c'est à dire de l'Appel ou Convocation à renaître, ou encore le Millénium Spirituel et le Royaume de Dieu. Il s'agit de la période du Règne de Christ, par sa Sainte Présence qui habite le cœur de ses élus véritables pour les former dans le processus de la résurrection spirituelle.

Quelques jours après l'exaltation de Christ, ou de son ascension, les disciples étaient tous ensemble dans la chambre-haute, c'est à dire dans la chambre ou communion des aspirations de l'anticipation de la révélation, lorsqu'il vint du ciel, c'est à dire de la divinité, un bruit comme un vent impétueux. Or selon le Grec original, il s'agit d'un retentissement de la divinité comme un souffle puissant. Or le mot bruit ou retentissement vient du Grec echos et désigne l'ampleur, disposition de l'esprit, comme réflexion de la vie. C'est à dire de réfléchir sur la grandeur et majesté de Christ, dans l'étendue de sa gloire et de sa puissance. En d'autres mots, les apôtres et les disciples, subirent une réaction à la révélation de la Sainte Présence de Christ qui revint pour habiter en eux. Ils furent pris par surprise, et subirent un contrecoup ou un choc, une répercussion, comme l'éclat ou impact d'une puissance prodigieuse, qui transforma radicalement leurs attitudes ou caractères qui refluèrent au-dedans d'eux, et qui se répandit dans leur esprit ou réflexions. En d'autres mots, la transmission d'un effet miraculeux qui se produit dans une période, pendant laquelle, après un événement important, une personne est perturbée, et son comportement est altéré. Cette expérience spirituelle prodigieuse est notre intégration en la Sainte Présence de Christ, dans laquelle nous sommes identifiés avec Lui et attribués tous les mérites du sacrifice de la croix. Elle est donc essentielle à notre salut, et confirme notre élection. La révélation de la Pentecôte est ainsi Christ en nous, l'anticipation de la gloire.

Il nous est dit que des langues semblables à du feu se posèrent sur chacun d'eux. Nous savons tous que les passages sur ce sujet ont été grandement abusés par les sectes pentecôtistes et charismatiques, mais aussi complètement négligés par les sectes du christianisme contrefait traditionnel. Il importe donc de faire la lumière sur ce sujet énigmatique.

Le mot Grec pour langue est glossa, et celui pour feu est pur relié à pyr ou pir, d'où nous avons le mot pyramide qui signifie littéralement le feu dans le centre, c'est à dire l'énergie vitale de l'existence, ce qui se rapporte à la divinité. En d'autres mots, les pyramides étaient des symboles d'une idolâtrie massive dans laquelle l'homme se faisait Dieu et exigeait l'adoration, ce qui était la caractéristique primaire des pharaons. Par analogie il est clair que cela se rapporte aux pasteurs des dites églises du christianisme contrefait moderne, qui se placent au sommet de la pyramide ecclésiastique. Ce même principe s'applique au niveau de la politique avec les dirigeants des nations, les petits dieux d'un monde dépravé.

 

Or la signification primaire du mot langue est expression, et secondaire dialecte. Or d'entre les nombreux synonymes pour feu, ceux qui se rapportent à notre contexte sont: conviction, enthousiasme, lumière, et ces trois nous portent au mystère de la révélation qui concerne la Sainte Présence de Christ qui nous habite. Ainsi les langues de feu et le parler en langue se rapportent à la même chose, la révélation de Christ en nous qui manifeste sa présence dans des instructions propres à la situation et réservées strictement pour cette époque, comme signes de l'accomplissent de ses promesses. Il se manifesta ainsi des expressions éblouissantes de révélations multiples, qui surgirent de chacun d'eux. Alors ils furent tous remplis de la Sainte Présence, et commencèrent à annoncer des expressions de choses inconnues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer en ces merveilles. Le parallèle est clair ici, les prétendus pasteurs, car il n'y a qu'un seul vrai pasteur Jésus-Christ, se font maîtres de la révélation biblique pour manipuler les ignorants et se faire une réputation.

 

Les expressions de la révélation de Christ en nous, furent aussi dans les différents dialectes hébraïques des Juifs d'autres nations, car la base du langage était similaire pour tous. Tous parlaient l'Hébreu, mais teinté d'expressions d'autres nations. Puisque l'Hébreu, était à cette période, un langage sans voyelles, tous purent comprendre ce que disaient les disciples sur les révélations de Dieu.

Ce n'est donc pas que les disciples parlaient les différents langages des peuples étrangers, mais les différents dialectes Hébreux, des Juifs qui venaient d'autres nations, pour assister à la Pâques.

L'exaltation de Christ marqua le début de l'Alliance de la Grâce, et le fusionnement des deux ministères en un seul.

 

À Christ seul soit la Gloire

Amen


Rédigé par Jean leDuc sous la

direction de Christ pour

la communauté

mondiale des

élus.